de Yaël Hassan
Quatrième de couverture:
L'action se déroule dans un pays imaginé mais proche de certains existants, où la pensée, les sentiments et l'entraide sont interdits. Le pays est gouverné par une dictature prônant l'élitisme. Les couleurs d'uniforme distinguent les élèves suivant leurs capacités : violet pour les élites, rouge pour les bons, vert et bleu pour les élèves dans la norme et brun pour les plus mauvais. Max, jeune lycéen est surpris en compagnie d'un opposant au régime, pour cela, il doit quitter l'uniforme rouge pour le brun et connaît l'humiliation et les moqueries. Mais sa vie garde pour lui un sens grâce à un groupe de résistance dont faisait partie son père. Il reste révolté malgré les moqueries, l'iniquité du proviseur, la froideur de sa mère Magda et avec l'amitié de Marilyn, une élève de couleur violette.
Mon avis:
J'apprécie beaucoup cet auteur jeunesse que j'ai découvert à travers des titres comme Momo, petit prince des bleuets (et la suite Momo des Coquelicots) et plus récemment la fille qui n'aimait pas les fins. J'ai été très surprise de lire ici un court roman résolument différent des précédents!
Ici on est dans un univers de dystopie puisqu'un bouleversement politique a eu lieu, le système éducatif est élitiste et humiliant, les liens affectifs prohibés, les libre penseurs traqués, les preuves d'un "avant" détruites et heureusement, un sytème de résistance est en place.
Notre héros Max est un jeune lycéen et sa belle rencontre avec un vieil antiquaire lui a couté sa place sociale et l'a relégué au rang des parias. Il ne comprend pas sa mère, ni le système autour de lui. Mais la lecture d'un livre "Seul dans Berlin" va lui montrer la voie...
Alors que l'univers est complètement différent, l'auteur arrive à nous emmener vers des notions telles que la différence, l'entraide et bien sûr encore des liens forts entre les générations. Je trouve son approche très bien faite car elle réussi ainsi à aborder des thèmes moins présents dans la littérature de jeunesse tels que l'oppression, la dictature, la résistance.
Un petit roman court mais très riche et surprenant!
Quatrième de couverture:
L'action se déroule dans un pays imaginé mais proche de certains existants, où la pensée, les sentiments et l'entraide sont interdits. Le pays est gouverné par une dictature prônant l'élitisme. Les couleurs d'uniforme distinguent les élèves suivant leurs capacités : violet pour les élites, rouge pour les bons, vert et bleu pour les élèves dans la norme et brun pour les plus mauvais. Max, jeune lycéen est surpris en compagnie d'un opposant au régime, pour cela, il doit quitter l'uniforme rouge pour le brun et connaît l'humiliation et les moqueries. Mais sa vie garde pour lui un sens grâce à un groupe de résistance dont faisait partie son père. Il reste révolté malgré les moqueries, l'iniquité du proviseur, la froideur de sa mère Magda et avec l'amitié de Marilyn, une élève de couleur violette.
Mon avis:
J'apprécie beaucoup cet auteur jeunesse que j'ai découvert à travers des titres comme Momo, petit prince des bleuets (et la suite Momo des Coquelicots) et plus récemment la fille qui n'aimait pas les fins. J'ai été très surprise de lire ici un court roman résolument différent des précédents!
Ici on est dans un univers de dystopie puisqu'un bouleversement politique a eu lieu, le système éducatif est élitiste et humiliant, les liens affectifs prohibés, les libre penseurs traqués, les preuves d'un "avant" détruites et heureusement, un sytème de résistance est en place.
Notre héros Max est un jeune lycéen et sa belle rencontre avec un vieil antiquaire lui a couté sa place sociale et l'a relégué au rang des parias. Il ne comprend pas sa mère, ni le système autour de lui. Mais la lecture d'un livre "Seul dans Berlin" va lui montrer la voie...
Alors que l'univers est complètement différent, l'auteur arrive à nous emmener vers des notions telles que la différence, l'entraide et bien sûr encore des liens forts entre les générations. Je trouve son approche très bien faite car elle réussi ainsi à aborder des thèmes moins présents dans la littérature de jeunesse tels que l'oppression, la dictature, la résistance.
Un petit roman court mais très riche et surprenant!
Une approche parfaite, mon billet me parait du coup bien tristounet.
RépondreSupprimerBonne journée, un bisou de plus à Lisa.
merci maman, elle a adoré votre colis!
SupprimerJe n'ai pas ce roman mais j'adore cet auteur et j'en ai encore un ou deux à lire d'elle. Je ne sais pas pourquoi je ne m'y mets pas d'ailleurs... C'est toujours très riche.
RépondreSupprimerlesquels sont dans ta pal??
SupprimerIl me tente bien ce livre ;)
RépondreSupprimersimple et riche à la fois! J4aime beaucoup cet auteur!!
SupprimerJe n'avais pas tellement apprécié Le Journal de Philol, de la même auteure. Mais celui-ci me tente bien.
RépondreSupprimerJe n'ai pas lu le journal de Philol mais j'ai adoré moto petit prince des bleuets et la fille qui n'aimait pas les fins! J'espère que tu retentiras un roman de cet auteur et que tu apprécieras d'avantage!
SupprimerJe ne connaissais pas, mais en lisant ta chronique, je me dis "pourquoi pas ?", à suivre ;)
RépondreSupprimerun roman jeunesse intéressant, vraiment!
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