de R. J Ellory
Il était temps que je découvre enfin un roman de cet auteur!
Le récit est construit ici en deux temps : d'un côté notre héros Daniel dans le couloir de la mort, son quotidien dans cet univers carcéral ; de l'autre on suit le fil de ses souvenirs qui tissent peu à peu la toile des évènements qui l'ont amené à la peine de mort.
J'ai eu un peu de mal à entrer dans le roman, mais je me suis ensuite laissée prendre par cette histoire.
A la lecture, j'ai retrouvé le plaisir ressenti avec le livre des Baltimore, dans lequel on retrouve cette idée d'un drame après lequel tout a basculé et dont on se rapproche petit à petit en retraçant le fil de l'histoire.
C'est un roman riche qui décrit toute une société, avec ses espoirs et ses contradictions. On a l'impression de traverser le temps et l'histoire américaine. La ségrégation raciale, La guerre du Vietnam, l'assassinat de Martin Luther King...
Le recul de Daniel sur sa vie, sur ses choix, nous amène nous aussi à réfléchir à la notion de famille, d'amour et d'amitié. A l'engagement aussi, pour son pays, pour ses amis, pour des inconnus.
Présentation de l'éditeur:
Après l’assassinat de John Kennedy, tout a changé aux États-Unis. La société est devenue plus violente, la musique plus forte, les drogues plus puissantes que jamais. L’Amérique a compris qu’il n’y avait plus un chef, un leader du pouvoir exécutif, mais une puissance invisible. Et si celle-ci pouvait éliminer leur président en plein jour, c’est qu’elle avait tous les pouvoirs. C’est dans cette Amérique en crise que Daniel Ford a grandi. Et c’est là, en Caroline du Sud, qu’il a été accusé d’avoir tué Nathan Vernet, son meilleur ami. Nous sommes maintenant en 1982 et Daniel est dans le couloir de la mort. Quelques heures avant son exécution, un prêtre vient recueillir ses dernières confessions. Bien vite, il apparaît que les choses sont loin d’être aussi simples qu’elles en ont l’air. Et que la politique et l’histoire des sixties ne sont pas qu’une simple toile de fond dans la vie de Daniel, peut-être lui aussi victime de la folie de son temps.
Il était temps que je découvre enfin un roman de cet auteur!
Le récit est construit ici en deux temps : d'un côté notre héros Daniel dans le couloir de la mort, son quotidien dans cet univers carcéral ; de l'autre on suit le fil de ses souvenirs qui tissent peu à peu la toile des évènements qui l'ont amené à la peine de mort.
J'ai eu un peu de mal à entrer dans le roman, mais je me suis ensuite laissée prendre par cette histoire.
A la lecture, j'ai retrouvé le plaisir ressenti avec le livre des Baltimore, dans lequel on retrouve cette idée d'un drame après lequel tout a basculé et dont on se rapproche petit à petit en retraçant le fil de l'histoire.
C'est un roman riche qui décrit toute une société, avec ses espoirs et ses contradictions. On a l'impression de traverser le temps et l'histoire américaine. La ségrégation raciale, La guerre du Vietnam, l'assassinat de Martin Luther King...
Le recul de Daniel sur sa vie, sur ses choix, nous amène nous aussi à réfléchir à la notion de famille, d'amour et d'amitié. A l'engagement aussi, pour son pays, pour ses amis, pour des inconnus.
Présentation de l'éditeur:
Après l’assassinat de John Kennedy, tout a changé aux États-Unis. La société est devenue plus violente, la musique plus forte, les drogues plus puissantes que jamais. L’Amérique a compris qu’il n’y avait plus un chef, un leader du pouvoir exécutif, mais une puissance invisible. Et si celle-ci pouvait éliminer leur président en plein jour, c’est qu’elle avait tous les pouvoirs. C’est dans cette Amérique en crise que Daniel Ford a grandi. Et c’est là, en Caroline du Sud, qu’il a été accusé d’avoir tué Nathan Vernet, son meilleur ami. Nous sommes maintenant en 1982 et Daniel est dans le couloir de la mort. Quelques heures avant son exécution, un prêtre vient recueillir ses dernières confessions. Bien vite, il apparaît que les choses sont loin d’être aussi simples qu’elles en ont l’air. Et que la politique et l’histoire des sixties ne sont pas qu’une simple toile de fond dans la vie de Daniel, peut-être lui aussi victime de la folie de son temps.
J'ai été conquise par son titre Seul le silence, énorme coup de coeur même. Les anonymes étaient pas mal aussi dans le genre. Et là, tu me donnes bien bien envie de lire ce titre là aussi.
RépondreSupprimerJ'aime ce que tu en dis.
Ahhh j'ai Seul le silence dans ma PAL!!! Tu me donnes envie de l'en sortir rapidement!
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