de Michael Roch
J'ai été complètement conquise par ce court texte. Quelle belle découverte!
Il faut dire que je suis particulièrement attachée à ce personnage, que j'aime l'univers des Enfants Perdus et m'envoler avec eux au Pays Imaginaire. J'ai trouvé ici l'auteur très fidèle à cette ambiance particulière qui retranscrit à la fois la réalité de toutes les émotions intenses et violentes qu'on peut ressentir dès l'enfance et cette envie de vivre, rire, jouer, profiter, malgré ces douleurs qui s'insinuent dans nos ventres. Ses bêtes qui courent derrière la tête! J'ai vraiment eu l'impression que son Peter Pan, c'était exactement le mien !
Mais ce qui m'a le plus touché, c'est la poésie présente à chaque page, alliant légèreté, douceur et profondeur. J'ai été émue par le choix des mots et me suis délectée à en relire des passages le soir.
Un petit bijou pour explorer les émotions perdues de son enfance et celles qui tambourinent encore au fond de soi. A lire et relire sans modération.
Présentation de l'éditeur:
« – Tu pleures ?
Les montagnes sont bleues derrière ses yeux. Une couleur de pluie passée qui regarde, une fois au sol, le souvenir amer de son nuage.
– Peter, répète-t-elle, tu pleures ? »
Je remercie les éditions Folio pour ce partenariat!
J'ai été complètement conquise par ce court texte. Quelle belle découverte!
Il faut dire que je suis particulièrement attachée à ce personnage, que j'aime l'univers des Enfants Perdus et m'envoler avec eux au Pays Imaginaire. J'ai trouvé ici l'auteur très fidèle à cette ambiance particulière qui retranscrit à la fois la réalité de toutes les émotions intenses et violentes qu'on peut ressentir dès l'enfance et cette envie de vivre, rire, jouer, profiter, malgré ces douleurs qui s'insinuent dans nos ventres. Ses bêtes qui courent derrière la tête! J'ai vraiment eu l'impression que son Peter Pan, c'était exactement le mien !
Mais ce qui m'a le plus touché, c'est la poésie présente à chaque page, alliant légèreté, douceur et profondeur. J'ai été émue par le choix des mots et me suis délectée à en relire des passages le soir.
Un petit bijou pour explorer les émotions perdues de son enfance et celles qui tambourinent encore au fond de soi. A lire et relire sans modération.
"Mais je ne peux plus bouger. Mes actions, mes pensées, mes envies sont limitées par cette force qui émane des yeux de la bête, et qui m’influence. Ma limite, c’est ma peur en équilibre sur les falaises de son regard."
"Nous devons garder notre esprit à l'instant présent, le précieux trésor de nos vies, l'endroit-clé d'où partent l'élan, l'envie, l'ambition, et les mille bonheurs qui en découlent."
"C’est indéniable : tous les souvenirs sont douloureux, quand bien même nous croyons qu’ils sont bons. Nous éprouvons des regrets et des remords qui ravivent les brûlures de nos actes passés. Nous sommes aussi nostalgiques des moments de joie, car ils n’existeront plus. Et la nostalgie est une souffrance. C’est pour ça que ses morsures sont cruelles."
"Être libre, ce n'est pas avoir la possibilité d'hésiter, mais c'est de pouvoir accomplir ce que l'on a choisi. Se battre ou fuir."
Présentation de l'éditeur:
« – Tu pleures ?
Les montagnes sont bleues derrière ses yeux. Une couleur de pluie passée qui regarde, une fois au sol, le souvenir amer de son nuage.
– Peter, répète-t-elle, tu pleures ? »
Je remercie les éditions Folio pour ce partenariat!
Je dois relire Peter Pan. Je note ce roman-là aussi
RépondreSupprimerune adaptation très poétique...
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