Le cri

de Nicolas Beuglet


Ce roman glissé sous le sapin par ma chère compagne de Lecture Jess était annoté d'un post it : "Parce que "Oui', il mérite que tu le découvres... (tu le commenceras quand je mettrai trop de temps à te rejoindre pendant une lecture commune et qu'il n'y aura plus de téléfilms de Noël!")
Il faut dire que malgré la tension dont elle me parlait à la lecture, elle ne m'avait pas toujours eu l'air si emballée, je n'avais donc pas insisté pour qu'elle me le prête!!
Or nous voilà lancées après Noël dans une nouvelle lecture simultanée avec Thilliez (nous poursuivons notre rattrapage de sa saga avec Syndrome E) ... et alors qu'il ne nous reste que quelques chapitres pour le finir, en l'attendant j'ai eu le temps de dévorer ce Cri de Nicolas Beuglet!

Alors pour le coup, il y a de l'action. Sarah, enquêtrice norvégienne et ancienne des forces spéciales va faire se retrouver face à un suicide un peu louche en hôpital psychiatrique. En à peine quelques pages, on sent que tout est bien plus tordu qu'il n'y parait et elle ne tarde pas à mettre le directeur au pied du mur! Cela ne s'arrête pas, le rythme est très soutenu, et la tension monte au fil des pages alors que se dessine un lien avec des expériences militaires secrètes. Cela m'a fait penser un peu à la série de Dan Brown avec Robert Langdon dans les rebondissements et les pistes qui s'ouvrent à l'autre bout du globe.
J'ai trouvé un peu classique la ficelle du MKultra qu'on lit beaucoup (et quelques pages plus loin, on l'a retrouvée dans le Thilliez!) et je n'ai pas vraiment adhéré à la résolution de l'enquête, par contre j'ai vraiment passé un bon moment avec cette lecture. J'ai aimé le rythme, le danger qui pèse sur nos héros, la façon dont Christopher est amené à faire équipe avec Sarah, et la fin du roman que nous offre l'auteur!


Présentation de l'éditeur:

Hôpital psychiatrique de Gaustad, Oslo. À l’aube d’une nuit glaciale, le corps d’un patient est retrouvé étranglé dans sa cellule, la bouche ouverte dans un hurlement muet. Dépêchée sur place, la troublante inspectrice Sarah Geringën le sent aussitôt : cette affaire ne ressemble à aucune autre…
Et les énigmes se succèdent : pourquoi la victime a-t-elle une cicatrice formant le nombre 488 sur le front ? Que signifient ces dessins indéchiffrables sur le mur de sa cellule ? Pourquoi le personnel de l’hôpital semble si peu à l’aise avec l’identité de cet homme interné à Gaustad depuis plus de trente ans ?
Pour Sarah, c’est le début d’une enquête terrifiante qui la mène de Londres à l’île de l’Ascension, des mines du Minnesota aux hauteurs du vieux Nice.
Soumise à un compte à rebours implacable, Sarah va lier son destin à celui d’un journaliste d’investigation français, Christopher, et découvrir, en exhumant des dossiers de la CIA, une vérité vertigineuse sur l’une des questions qui hante chacun d’entre nous : la vie après la mort…
Et la réponse, enfouie dans des laboratoires ultrasecrets, pourrait bien affoler plus encore que la question !

Commentaires

  1. Depuis le temps que j'entends la pub pour ce livre à la radio...
    J'aime bien quand il n'y a pas de temps mort dans les polars, je vais le noter.
    Je te souhaite en même temps une très belle année :-)

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    1. En effet cela s'enchaine, cela devrait te plaire alors!
      Meilleurs voeux à toi aussi Pauline, et merci pour ton passage ;-)

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  2. Il a l'air vraiment pas mal ! Je me demande d'ailleurs s'il n'est pas déjà dans ma wishlist... A vérifier.

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