de Benoit Vanstavel
Ce roman s'ouvre sur une situation assez classique : l'aspect socialement pesant du célibat passé un certain âge. Notre héros a bien du mal à supporter la situation et décide de se débarrasser de ce problème en donnant toute satisfaction à ceux qui le harcèlent... Il se crée donc une petite amie de toutes pièces : Pénélope!
J'ai beaucoup aimé cette première partie du roman car l'écriture de l'auteur est assez percutante, elle allie l'humour avec des situations cocasses et une certaine critique de la société. J'ai bien aimé cet aspect satyrique et je l'ai suivi sans problème dans les premiers renversements de situations loufoques. En effet, Tristan a tôt fait de se faire rattraper par ses mensonges. Malheureusement, ne sachant comment s'en sortir il s'enfonce de plus en plus profondément dans les méandres de son imagination et il n'est pas toujours bien inspiré.
La seule issue lui semble l'amnésie, et là encore j'ai été séduite par les choix de l'auteur. Quand la presse relaye sa situation d'amnésique associée à son récent héritage conséquent, de multiples femmes prénommées Pénélope répondent à l'appel de sa famille pour retrouver la fiancée de Tristan!
Puis notre héros est à nouveau coincé par l'acharnement du sort contre lui (et son obstination à ne pas révéler la vérité!!) et c'est là que j'ai commencé à perdre le fil de mon intérêt.
J'ai continué à sourire lors de la machination orchestrée par la diabolique Laurence et l'évasion rocambolesque de notre héros épaulé de ses complices...
Mais une fois dans le phare, je n'ai pas réussi à retrouver l'intérêt qu'avait suscité le roman jusque là. Trop de situations loufoques? Trop de mensonges? Je ne sais pas vraiment pourquoi j'ai décroché ainsi car l'écriture est la même d'un bout à l'autre et ses choix cohérents mais c'était trop pour moi et je dois dire que la fin de la lecture a été fastidieuse. Si je n'ai pas retrouvé l'étincelle dans la dernière partie je dois quand même reconnaître que j'en ai apprécié le dernier paragraphe, une situation finale bien fidèle à l'esprit de ce roman!
Présentation de l'éditeur:
Mais qu’est-ce que Tristan a fait au ciel pour avoir une famille pareille ? À chaque fois, il doit répondre à la question rituelle : « Alors, toujours célibataire ? » Exaspéré de devoir se justifier, le trentenaire s’invente une petite amie. Ce sera Pénélope, étudiante en japonais et experte en chats angoras. Et son stratagème fonctionne à merveille. Trop heureux de le savoir en couple, ses proches se laissent berner. Même les plus sceptiques, ceux qui ne croient pas à la mort d’Elvis et à la disparition des dinosaures, avalent le gros bobard. Mais à la mort de sa grand-tante, foudroyée par une intoxication alimentaire, les choses dérapent. La petite fortune que lui a léguée la vieille dame aiguise les appétits de nombreuses Pénélope potentielles. Et Tristan est obligé de fuir, embarquant dans son sillage un banquier douteux, un notaire angoissé et une charcutière romantique…
Je remercie les éditions City pour ce partenariat.
Ce roman s'ouvre sur une situation assez classique : l'aspect socialement pesant du célibat passé un certain âge. Notre héros a bien du mal à supporter la situation et décide de se débarrasser de ce problème en donnant toute satisfaction à ceux qui le harcèlent... Il se crée donc une petite amie de toutes pièces : Pénélope!
J'ai beaucoup aimé cette première partie du roman car l'écriture de l'auteur est assez percutante, elle allie l'humour avec des situations cocasses et une certaine critique de la société. J'ai bien aimé cet aspect satyrique et je l'ai suivi sans problème dans les premiers renversements de situations loufoques. En effet, Tristan a tôt fait de se faire rattraper par ses mensonges. Malheureusement, ne sachant comment s'en sortir il s'enfonce de plus en plus profondément dans les méandres de son imagination et il n'est pas toujours bien inspiré.
La seule issue lui semble l'amnésie, et là encore j'ai été séduite par les choix de l'auteur. Quand la presse relaye sa situation d'amnésique associée à son récent héritage conséquent, de multiples femmes prénommées Pénélope répondent à l'appel de sa famille pour retrouver la fiancée de Tristan!
Puis notre héros est à nouveau coincé par l'acharnement du sort contre lui (et son obstination à ne pas révéler la vérité!!) et c'est là que j'ai commencé à perdre le fil de mon intérêt.
J'ai continué à sourire lors de la machination orchestrée par la diabolique Laurence et l'évasion rocambolesque de notre héros épaulé de ses complices...
Mais une fois dans le phare, je n'ai pas réussi à retrouver l'intérêt qu'avait suscité le roman jusque là. Trop de situations loufoques? Trop de mensonges? Je ne sais pas vraiment pourquoi j'ai décroché ainsi car l'écriture est la même d'un bout à l'autre et ses choix cohérents mais c'était trop pour moi et je dois dire que la fin de la lecture a été fastidieuse. Si je n'ai pas retrouvé l'étincelle dans la dernière partie je dois quand même reconnaître que j'en ai apprécié le dernier paragraphe, une situation finale bien fidèle à l'esprit de ce roman!
Présentation de l'éditeur:
Mais qu’est-ce que Tristan a fait au ciel pour avoir une famille pareille ? À chaque fois, il doit répondre à la question rituelle : « Alors, toujours célibataire ? » Exaspéré de devoir se justifier, le trentenaire s’invente une petite amie. Ce sera Pénélope, étudiante en japonais et experte en chats angoras. Et son stratagème fonctionne à merveille. Trop heureux de le savoir en couple, ses proches se laissent berner. Même les plus sceptiques, ceux qui ne croient pas à la mort d’Elvis et à la disparition des dinosaures, avalent le gros bobard. Mais à la mort de sa grand-tante, foudroyée par une intoxication alimentaire, les choses dérapent. La petite fortune que lui a léguée la vieille dame aiguise les appétits de nombreuses Pénélope potentielles. Et Tristan est obligé de fuir, embarquant dans son sillage un banquier douteux, un notaire angoissé et une charcutière romantique…
Je remercie les éditions City pour ce partenariat.
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