de Sandrine Dazieri
Mon avis:
Un coup de coeur avant de finir le mois pour ce thriller italien. Merci Jessica pour le partage!
Notre héroïne est le commissaire Caselli, une jeune femme déjà bien usée par la profession, en congé d'ailleurs suite à la conclusion explosive de sa dernière affaire. Elle est submergée d'angoisses et est au bord de la démission. Son supérieur va pourtant la mêler à une enquête pour homicide avec disparition d'enfant et il s'arrange même pour lui faire recruter Dante, alias l'homme du silo. C'est un expert en disparitions qui puise ses compétences dans son expérience traumatique de séquestration. Ce don va bien entendu avec son lot de séquelles...
Ce duo particulier fonctionne bien et je suis tombée très rapidement sous le charme de la narration. L'auteur joue avec nos nerfs dès le début car Dante réalise qu'ils courent après le responsable de son propre enlèvement. Et cela ne fait que commencer! La position officieuse de Colomba les met de nombreuses fois dans une situation délicate, et malgré les doutes quant aux conjectures que l'autre peut tirer, ils ne tardent pas à se respecter et à se faire confiance.
On se pose beaucoup de questions et la tension ne cesse de monter.
Une bonne intrigue pleine de rebondissements et un rythme haletant. Une fin soignée.
C'est un excellent thriller. Je lirai sans hésiter le prochain roman de l'auteur!
Quatrième de couverture:
Le père est là, dehors, quelque part. La cage est désormais aussi vaste que le monde, mais Dante est toujours son prisonnier.
Non loin de Rome, un homme affolé tente d'arrêter les voitures. Son fils de huit ans a disparu et le corps de sa femme gît, décapité, au fond d'une clairière.
Le commissaire Colomba Caselli ne croit pas à l'hypothèse du drame familial et fait appel à un expert en disparitions de personnes : Dante Torre. Kidnappé enfant, il a grandi enfermé dans un silo à grains avant de parvenir à s'échapper. Pendant des années, son seul contact avec l'extérieur a été son mystérieux geôlier, qu'il appelle « le Père ».
Colomba va confronter Dante à son pire cauchemar : dans cette affaire, il reconnaît la signature de ce Père jamais identifié, jamais arrêté...
Mon avis:
Un coup de coeur avant de finir le mois pour ce thriller italien. Merci Jessica pour le partage!
Notre héroïne est le commissaire Caselli, une jeune femme déjà bien usée par la profession, en congé d'ailleurs suite à la conclusion explosive de sa dernière affaire. Elle est submergée d'angoisses et est au bord de la démission. Son supérieur va pourtant la mêler à une enquête pour homicide avec disparition d'enfant et il s'arrange même pour lui faire recruter Dante, alias l'homme du silo. C'est un expert en disparitions qui puise ses compétences dans son expérience traumatique de séquestration. Ce don va bien entendu avec son lot de séquelles...
Ce duo particulier fonctionne bien et je suis tombée très rapidement sous le charme de la narration. L'auteur joue avec nos nerfs dès le début car Dante réalise qu'ils courent après le responsable de son propre enlèvement. Et cela ne fait que commencer! La position officieuse de Colomba les met de nombreuses fois dans une situation délicate, et malgré les doutes quant aux conjectures que l'autre peut tirer, ils ne tardent pas à se respecter et à se faire confiance.
On se pose beaucoup de questions et la tension ne cesse de monter.
Une bonne intrigue pleine de rebondissements et un rythme haletant. Une fin soignée.
C'est un excellent thriller. Je lirai sans hésiter le prochain roman de l'auteur!
Quatrième de couverture:
Le père est là, dehors, quelque part. La cage est désormais aussi vaste que le monde, mais Dante est toujours son prisonnier.
Non loin de Rome, un homme affolé tente d'arrêter les voitures. Son fils de huit ans a disparu et le corps de sa femme gît, décapité, au fond d'une clairière.
Le commissaire Colomba Caselli ne croit pas à l'hypothèse du drame familial et fait appel à un expert en disparitions de personnes : Dante Torre. Kidnappé enfant, il a grandi enfermé dans un silo à grains avant de parvenir à s'échapper. Pendant des années, son seul contact avec l'extérieur a été son mystérieux geôlier, qu'il appelle « le Père ».
Colomba va confronter Dante à son pire cauchemar : dans cette affaire, il reconnaît la signature de ce Père jamais identifié, jamais arrêté...
Bonsoir Piplo, à mon tour de te souhaiter une très bonne année 2018 pleines de lectures passionnantes comme celle-ci. J'ai la suite qui m'attend sur ma PAL depuis quelques mois.
RépondreSupprimerConcernant les deux films que j'ai vus et que je ne manquerai pas de chroniquer, il y a un film chinois, Le rire de Mme Lin et un film isréalien, The Wedding plan. Les deux se donnaient dans le même cinéma "Art et Essai" sur les Champs Elysées. Bonne soirée.
J'ai entendu parler de tu tueras l'ange... Il faut que j'aille voir s'il est à la bibli!
SupprimerJ'espère que tu as apprécié la projection! j'irai lire tes avis! Bonne journée!