de Charlotte Brönte
Quatrième de couverture:
Jane Eyre est pauvre, orpheline, pas très jolie. Pourtant, grâce à sa seule force de caractère, et sans faillir à ses principes, elle parviendra à faire sa place dans la société rigide de l'Angleterre victorienne et à trouver l'amour... Une héroïne qui surmonte les épreuves sans perdre foi en son avenir, une intrigue où se succèdent mystères et coups de théâtre, une passion amoureuse qui défie tous les obstacles : le plaisir de lire Jane Eyre est toujours aussi vif. Comme elle, on veut croire que rien n'est écrit d'avance et que la vie réserve des bonheurs imprévus.
Mon avis:
J'appréhendais un peu la lecture de ce roman car j'avais été déçue à la lecture du roman incontournable de sa soeur: Les Hauts de Hurle-Vent. J'avais peur de retrouver cette conception violente de l'amour qui m'avait déplue. J'ai donc décidé d'en lire un peu tous les jours, chose que je fais très rarement.
Je suis donc entrée peu à peu dans la vie de cette petite fille Jane Eyre. Souffre douleur de son cousin, détestée par sa tante, son enfance est difficile. Elle va réussir à échapper à ce foyer en étant envoyée dans un pensionnat pour orphelines. Tout y est fait pour que ces jeunes filles y apprennent la dureté de la vie et s'accoutument à la pauvreté. Mais malgré ces conditions très difficiles, Jane fait de belles rencontres et ne regrette pas le faste de sa vie chez les Reed.
Je n'ai pas vraiment accroché avec ce début de roman, mais j'ai lu les 200 pages suivantes presque d'une traite. Le ton change quand Jane devient gouvernante et quitte ce pensionnat. Elle va vers l'inconnu et a tant envie de vivre. J'ai apprécié son personnage et sa façon d'être sûre d'elle et de ne pas se démonter face aux autres tout en ayant une image très humble et en ne cessant d'être respectueuse. Cela vaut au lecteur de belles scènes avec son maître M. Rochester, dans lesquelles on se régale de la répartie de notre héroïne. J'ai apprécié la façon dont leur amour se révèle.
Mes craintes étaient un peu fondées tout de même car cet amour fort et véritable s'accompagne d'un sacré lot de tragédies et de souffrances. Il se doit d'être douloureux et compliqué.
Malgré cela j'ai réussi à passer un bon moment en compagnie de cette héroïne. Même si elle met un point d'honneur a être fidèle à ses principes, à être droite et bonne, elle sait profiter des moments de bonheur qui se présentent.
Quatrième de couverture:
Jane Eyre est pauvre, orpheline, pas très jolie. Pourtant, grâce à sa seule force de caractère, et sans faillir à ses principes, elle parviendra à faire sa place dans la société rigide de l'Angleterre victorienne et à trouver l'amour... Une héroïne qui surmonte les épreuves sans perdre foi en son avenir, une intrigue où se succèdent mystères et coups de théâtre, une passion amoureuse qui défie tous les obstacles : le plaisir de lire Jane Eyre est toujours aussi vif. Comme elle, on veut croire que rien n'est écrit d'avance et que la vie réserve des bonheurs imprévus.
Mon avis:
J'appréhendais un peu la lecture de ce roman car j'avais été déçue à la lecture du roman incontournable de sa soeur: Les Hauts de Hurle-Vent. J'avais peur de retrouver cette conception violente de l'amour qui m'avait déplue. J'ai donc décidé d'en lire un peu tous les jours, chose que je fais très rarement.
Je suis donc entrée peu à peu dans la vie de cette petite fille Jane Eyre. Souffre douleur de son cousin, détestée par sa tante, son enfance est difficile. Elle va réussir à échapper à ce foyer en étant envoyée dans un pensionnat pour orphelines. Tout y est fait pour que ces jeunes filles y apprennent la dureté de la vie et s'accoutument à la pauvreté. Mais malgré ces conditions très difficiles, Jane fait de belles rencontres et ne regrette pas le faste de sa vie chez les Reed.
Je n'ai pas vraiment accroché avec ce début de roman, mais j'ai lu les 200 pages suivantes presque d'une traite. Le ton change quand Jane devient gouvernante et quitte ce pensionnat. Elle va vers l'inconnu et a tant envie de vivre. J'ai apprécié son personnage et sa façon d'être sûre d'elle et de ne pas se démonter face aux autres tout en ayant une image très humble et en ne cessant d'être respectueuse. Cela vaut au lecteur de belles scènes avec son maître M. Rochester, dans lesquelles on se régale de la répartie de notre héroïne. J'ai apprécié la façon dont leur amour se révèle.
Mes craintes étaient un peu fondées tout de même car cet amour fort et véritable s'accompagne d'un sacré lot de tragédies et de souffrances. Il se doit d'être douloureux et compliqué.
Malgré cela j'ai réussi à passer un bon moment en compagnie de cette héroïne. Même si elle met un point d'honneur a être fidèle à ses principes, à être droite et bonne, elle sait profiter des moments de bonheur qui se présentent.
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