Il n'est pas si facile de vivre

de Christine Arnothy


Quatrième de couverture:

La Hongrie est en feu. Les Allemands, qui y sont entrés en maîtres, se sont retranchés dans Budapest et entendent tenir la ville, qu'assiègent les Russes.C'est ce siège de deux mois, vécu dans la cave de leur immeuble pris, au bord du Danube, sous les feux croisés des belligérants, que raconte Christine Arnothy. Ils sont là, une douzaine à attendre l'avancée russe avec l'espoir qu'elle marquera la fin de l'oppression et de l'horreur.Mais bientôt, les parents de Christine décident de quitter le pays. Ils aboutissent dans un camp de réfugiés en Autriche, d'où Christine veut s'arracher à tout prix. Cette existence recommencée est le thème de Il n'est pas si facile de vivre, qui fait suite à J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir.

Mon avis:

Si j'avais eu un peu de mal à entrer dans J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir, j'ai rapidement lu la suite car après avoir vécu auprès de Christine dans cette cave, je voulais en savoir plus sur sa vie d'après. J'ai été beaucoup plus touchée par cette partie du récit autobiographique de l'auteur. Elle aborde le problème des réfugiés et sa volonté de fuir cette vie. J'ai aimé le recul qu'elle a sur sa propre histoire, ces choix de fille et ceux de femme. 

Commentaires

  1. Je pensais que tu l’avais lu depuis longtemps.
    C’est encore tellement actuel, cette histoire qui se répète toujours, et encore…

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