de Audur Ava Ólafsdóttir
Quatrième de couverture:
Le jeune Arnljótur va quitter la maison, son frère jumeau autiste, son vieux père octogénaire, et les paysages crépusculaires de laves couvertes de lichens. Sa mère a eu un accident de voiture. Mourante dans le tas de ferraille, elle a trouvé la force de téléphoner aux siens et de donner quelques tranquilles recommandations à son fils qui aura écouté sans s'en rendre compte les dernières paroles d'une mère adorée. Un lien les unissait : le jardin et la serre où elle cultivait une variété rare de Rosa candida à huit pétales. C'est là qu'Arnljótur aura aimé Anna, une amie d'un ami, un petit bout de nuit, et l'aura mise innocemment enceinte. En route pour une ancienne roseraie du continent, avec dans ses bagages deux ou trois boutures de Rosa candida, Arnljótur part sans le savoir à la rencontre d'Anna et de sa petite fille, là-bas, dans un autre éden, oublié du monde et gardé par un moine cinéphile.
Mon avis:
J'ai lu ce roman sur ma liseuse par petits bouts le soir, et à aucun moment je n'ai vraiment été happée par ma lecture.
Arnljotur quitte son foyer, encore sous le coup du deuil de sa mère dont il était très proche. Il a une petite fille d'une aventure d'un soir, un père âgé qui s'inquiète de lui et un jumeau handicapé.
Il part pour redonner au jardin mythique d'un monastère la magnifique roseraie qu'il y avait autrefois. Bercé par les souvenirs de sa mère au parfum de terreau et de leurs confidences silencieuses dans la serre il nous parle de lui et de ses obsessions.
J'ai eu vraiment beaucoup de mal à m'attacher à ce personnage. Il a fallu qu'Anna, la mère de son enfant lui annonce qu'il devrait garder sa fille pendant quelques semaines pour que sa vie soit chamboulée et que je trouve davantage d'intérêt à ma lecture.
J'ai apprécié qu'il ne rejette à aucun moment ses responsabilités et que loin de tout il mette tout en place pour les accueillir correctement.
Il m'est apparu sympathique dès qu'il a été moins tourné vers lui et j'ai apprécié cette partie du roman même si la fin m'a laissé un petit goût d'inachevé.
Quatrième de couverture:
Le jeune Arnljótur va quitter la maison, son frère jumeau autiste, son vieux père octogénaire, et les paysages crépusculaires de laves couvertes de lichens. Sa mère a eu un accident de voiture. Mourante dans le tas de ferraille, elle a trouvé la force de téléphoner aux siens et de donner quelques tranquilles recommandations à son fils qui aura écouté sans s'en rendre compte les dernières paroles d'une mère adorée. Un lien les unissait : le jardin et la serre où elle cultivait une variété rare de Rosa candida à huit pétales. C'est là qu'Arnljótur aura aimé Anna, une amie d'un ami, un petit bout de nuit, et l'aura mise innocemment enceinte. En route pour une ancienne roseraie du continent, avec dans ses bagages deux ou trois boutures de Rosa candida, Arnljótur part sans le savoir à la rencontre d'Anna et de sa petite fille, là-bas, dans un autre éden, oublié du monde et gardé par un moine cinéphile.
Mon avis:
J'ai lu ce roman sur ma liseuse par petits bouts le soir, et à aucun moment je n'ai vraiment été happée par ma lecture.
Arnljotur quitte son foyer, encore sous le coup du deuil de sa mère dont il était très proche. Il a une petite fille d'une aventure d'un soir, un père âgé qui s'inquiète de lui et un jumeau handicapé.
Il part pour redonner au jardin mythique d'un monastère la magnifique roseraie qu'il y avait autrefois. Bercé par les souvenirs de sa mère au parfum de terreau et de leurs confidences silencieuses dans la serre il nous parle de lui et de ses obsessions.
J'ai eu vraiment beaucoup de mal à m'attacher à ce personnage. Il a fallu qu'Anna, la mère de son enfant lui annonce qu'il devrait garder sa fille pendant quelques semaines pour que sa vie soit chamboulée et que je trouve davantage d'intérêt à ma lecture.
J'ai apprécié qu'il ne rejette à aucun moment ses responsabilités et que loin de tout il mette tout en place pour les accueillir correctement.
Il m'est apparu sympathique dès qu'il a été moins tourné vers lui et j'ai apprécié cette partie du roman même si la fin m'a laissé un petit goût d'inachevé.
j'ai bien aimé ce livre, cette douceur et cette lenteur aussi. Il m'a fait beaucoup de bien, je l'ai trouvé bienveillant. bisous
RépondreSupprimerje n'ai pas dû le lire au bon moment pour en profiter au mieux!
SupprimerC'est un livre qui peut être apprécié ou detesté , je pense qu'il s'agit de le lire " au bon moment" il est très lent , très pictural, finalement assez à l'image du pays. Je peux comprendre lorsque tu dis ne pas avoir été happée, l'histoire est coulante, et évidemment on se peut être absorbée par ce livre que si on le lit à un moment dénué de tout stress , de toute activité presque parce que du coup le rythme deviendrait contradictoire ! Moi je l'ai aimé mais je l'ai lu en vacances farniente près de la loire ... tout s'explique !
RépondreSupprimerJe ne l'ai pas détesté non plus, d'ailleurs je ne l'ai pas noté en déception. Je n'ai simplement pas trouvé cette lecture vraiment plaisante... Tu dois avoir raison concernant le contexte quand même!!
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