de Katherine Pancol
Quatrième de couverture:
Ce livre est une bourrasque de vie...
Un baiser brûlant du seul qu'on ne doit pas embrasser. Deux bras qui enlacent ou qui tuent. Un homme inquiétant, mais si charmant. Une femme qui tremble et espère ardemment...
Un Homme qui ment si savamment. Une femme qui croit mener la danse, mais qui passe son tour. Des adolescents plus avertis que les grands...
Un homme qui joue les revenants. Un père, là haut dans les étoiles, qui murmure à l'oreille de sa fille...
Un chien si laid qu'on s'écarte sur son passage.
Des personnages qui avancent obstinément comme des petites tortues entêtées qui apprendraient à danser lentement, lentement dans un monde trop rapide, trop violent.
Mon avis:
Je ne serais pas allée de moi même vers ce roman car j'avais eu du mal à accrocher avec les yeux jaunes des crocodiles. Pancol étant tirée au sort pour le challenge de June et mon amie Céline ayant celui-ci chez elle, j'ai franchi le cap... et je ne le regrette pas!!!
En effet, je suis très facilement entrée dedans, je n'ai pas du tout retrouvé les mauvaises impressions de départ où les personnages médisent beaucoup. On retrouve Joséphine et sa famille là où on les avait laissées: après l'annonce publique de son ainée d'Hortense, révélant que c'était sa mère l'auteur du dernier roman à succès et pas Iris, l'usurpatrice...
J'ai aimé la vie vie qui déborde de ce livre, je me suis cette fois bien attachée aux personnages et j'ai trouvé toutes les facettes de l'histoire agréable. Alors qu'Iris et Henriette montrent de plus en plus leur vraie nature, j'étais ravie de me rapprocher d' Hortense au travers de sa vie à Londres. On la comprend un peu mieux devant les épreuves qu'elle affronte et les espoirs qu'elle a...
J'ai aimé également le bal des habitants de cette résidence huppée, de la loge de la concierge à la cave, et cette histoire de serial killer! On trouve aussi beaucoup d'amour dans ce roman, à tous les âges et à tous les étages!!
J'ai un peu regrété qu'on dérape de la fiction réaliste à plusieurs reprises, entre le petit bébé de Marcel et Josiane qui est en lien direct avec le ciel et les séances de maraboutage, mais cela n'a pas pris trop de place et donc pas empiété sur le ton général du roman.
Joséphine m'apparait de plus en plus sympathique! J'ai lu ce pavé facilement en passant un bon moment, et pour le coup, je suis sûre d'emprunter prochainement "Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi"!
"C'est pour ça qu'il faut se parler. Toujours. Sinon on entasse les malentendus et on devient malentendant. On ne s'écoute plus."
Quatrième de couverture:
Ce livre est une bourrasque de vie...
Un baiser brûlant du seul qu'on ne doit pas embrasser. Deux bras qui enlacent ou qui tuent. Un homme inquiétant, mais si charmant. Une femme qui tremble et espère ardemment...
Un Homme qui ment si savamment. Une femme qui croit mener la danse, mais qui passe son tour. Des adolescents plus avertis que les grands...
Un homme qui joue les revenants. Un père, là haut dans les étoiles, qui murmure à l'oreille de sa fille...
Un chien si laid qu'on s'écarte sur son passage.
Des personnages qui avancent obstinément comme des petites tortues entêtées qui apprendraient à danser lentement, lentement dans un monde trop rapide, trop violent.
Mon avis:
Je ne serais pas allée de moi même vers ce roman car j'avais eu du mal à accrocher avec les yeux jaunes des crocodiles. Pancol étant tirée au sort pour le challenge de June et mon amie Céline ayant celui-ci chez elle, j'ai franchi le cap... et je ne le regrette pas!!!
En effet, je suis très facilement entrée dedans, je n'ai pas du tout retrouvé les mauvaises impressions de départ où les personnages médisent beaucoup. On retrouve Joséphine et sa famille là où on les avait laissées: après l'annonce publique de son ainée d'Hortense, révélant que c'était sa mère l'auteur du dernier roman à succès et pas Iris, l'usurpatrice...
J'ai aimé la vie vie qui déborde de ce livre, je me suis cette fois bien attachée aux personnages et j'ai trouvé toutes les facettes de l'histoire agréable. Alors qu'Iris et Henriette montrent de plus en plus leur vraie nature, j'étais ravie de me rapprocher d' Hortense au travers de sa vie à Londres. On la comprend un peu mieux devant les épreuves qu'elle affronte et les espoirs qu'elle a...
J'ai aimé également le bal des habitants de cette résidence huppée, de la loge de la concierge à la cave, et cette histoire de serial killer! On trouve aussi beaucoup d'amour dans ce roman, à tous les âges et à tous les étages!!
J'ai un peu regrété qu'on dérape de la fiction réaliste à plusieurs reprises, entre le petit bébé de Marcel et Josiane qui est en lien direct avec le ciel et les séances de maraboutage, mais cela n'a pas pris trop de place et donc pas empiété sur le ton général du roman.
Joséphine m'apparait de plus en plus sympathique! J'ai lu ce pavé facilement en passant un bon moment, et pour le coup, je suis sûre d'emprunter prochainement "Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi"!
"C'est pour ça qu'il faut se parler. Toujours. Sinon on entasse les malentendus et on devient malentendant. On ne s'écoute plus."
Je me souviens que j'avais adoré ce deuxième tome, bien plus attractif que le premier !
RépondreSupprimerOui, c'est bien vrai!!! T as lu le 3!
SupprimerJ'ai adoré tous les tomes. La citation que j'ai retenue: "Bonne ça ne s'écrit pas avec un C". Je la sors souvent quand j'ai l'impression d'être une bonne poire. Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi est vraiment bien.
RépondreSupprimerAh super... Je vais le lire bientôt alors ;-))
SupprimerPancol et sa trilogie, idéale pour l'été, je me rapelle l'avoir dévoré après mon brevet ^^
RépondreSupprimerTu avais aimé le dernier aussi?
SupprimerOh oui il clos la saga parfaitement même si j'espère toujours un autre tome...
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