Corps du roi

de Pierre Michon


Quatrième de couverture:

 « Le roi, on le sait, a deux corps : un corps éternel, dynastique, que le texte intronise et sacre, et qu’on appelle arbitrairement Shakespeare, Joyce, Beckett, ou Bruno, Dante, Vico, Joyce, Beckett, mais qui est le même corps immortel vêtu de défroques provisoires ; et il a un autre corps mortel, fonctionnel, relatif, la défroque, qui va à la charogne, qui s’appelle et s’appelle seulement Dante et porte un petit bonnet sur un nez camus, seulement Joyce et alors il a des bagues et l’œil myope, ahuri, seulement Shakespeare et c’est un bon gros rentier à fraise élisabéthaine. »


Mon avis:
J'ai eu beaucoup de mal à apprécier ce texte. Il ne s'agit manifestement pas d'une oeuvre à la portée de tout le monde et je n'ai pas la culture et les références nécessaires pour capter l'essence et le sens du propos de l'auteur.
La réflexion sur les mythes qui entourent les auteurs m'a cependant intéressée à plusieurs reprises et j'ai même beaucoup apprécié son premier chapitre où il dépeint le contexte d'une photographie de Beckett.
Pour le reste, je suis passée à côté...


Commentaires

Enregistrer un commentaire

Les commentaires sont maintenant modérés, on ne peut donc pas les visualiser instantanément, mais si vous avez bien appuyé sur PUBLIER, votre message apparaitra très prochainement!
Merci pour votre passage par ici !