de Maylis de Kerangal
Voilà un court roman atypique. L'auteure nous fait plonger dans la recherche identitaire professionnelle d'un jeune homme dont le coeur balance entre économie et restauration. On parcourt alors avec lui toutes les étapes qui l'ont amené à se trouver, poste après poste, pays après pays, de déception en révélation, de raz le bol en défi personnel.
J'ai d'autant plus apprécié les différentes étapes qu'elles m'ont fait penser aux retours de mon mari quand il faisait ses stages en restauration ou qu'il changeait de poste en début de carrière à la recherche de ce qui lui correspondrait. Les anecdotes après des journées éreintantes, la réalité dure de ce métier, et puis la magie qui opère aussi parfois.
J'ai aimé aussi le point de vue : ce regard extérieur. On ne saura rien de plus sur cette narratrice que l'affection manifeste qu'elle porte à notre héros, elle prend du recul mais est toujours présente, à chaque étape, chaque doute, chaque retour.
Présentation de l'éditeur:
«La plus grande violence de ce métier, tu sais, c’est que la cuisine exige qu’on lui sacrifie tout, qu’on lui donne sa vie.»
Brasserie parisienne, restaurant étoilé, auberge gourmande, bistrot gastronomique : les tables défilent dans la vie de Mauro. Aux côtés de ce jeune chef en vogue, gardien d’un certain héritage, Maylis de Kerangal nous plonge dans l’univers méconnu de la restauration. Un monde fait de passion, de solidarité, mais aussi de violence et de fatigue. Un monde dans lequel la cuisine devient un langage qui s’invente, réunit et se partage, croqué avec brio par l’auteur de Réparer les vivants.
Je remercie les éditions Folio pour ce partenariat!
Voilà un court roman atypique. L'auteure nous fait plonger dans la recherche identitaire professionnelle d'un jeune homme dont le coeur balance entre économie et restauration. On parcourt alors avec lui toutes les étapes qui l'ont amené à se trouver, poste après poste, pays après pays, de déception en révélation, de raz le bol en défi personnel.
J'ai d'autant plus apprécié les différentes étapes qu'elles m'ont fait penser aux retours de mon mari quand il faisait ses stages en restauration ou qu'il changeait de poste en début de carrière à la recherche de ce qui lui correspondrait. Les anecdotes après des journées éreintantes, la réalité dure de ce métier, et puis la magie qui opère aussi parfois.
J'ai aimé aussi le point de vue : ce regard extérieur. On ne saura rien de plus sur cette narratrice que l'affection manifeste qu'elle porte à notre héros, elle prend du recul mais est toujours présente, à chaque étape, chaque doute, chaque retour.
Présentation de l'éditeur:
«La plus grande violence de ce métier, tu sais, c’est que la cuisine exige qu’on lui sacrifie tout, qu’on lui donne sa vie.»
Brasserie parisienne, restaurant étoilé, auberge gourmande, bistrot gastronomique : les tables défilent dans la vie de Mauro. Aux côtés de ce jeune chef en vogue, gardien d’un certain héritage, Maylis de Kerangal nous plonge dans l’univers méconnu de la restauration. Un monde fait de passion, de solidarité, mais aussi de violence et de fatigue. Un monde dans lequel la cuisine devient un langage qui s’invente, réunit et se partage, croqué avec brio par l’auteur de Réparer les vivants.
Je remercie les éditions Folio pour ce partenariat!
Je ne connais pas du tout ce métier mais j'ai ce livre en partenariat et j'ai hâte de le commencer pour découvrir cette romancière dont j'entends parler souvent...
RépondreSupprimerSuper! Je viendrai te lire avec plaisir, car je me demande comment il peut être perçu quand on ne connait pas le métier. Un petit roman qui ne ressemble pas aux autres que j'ai lus d'elle!
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