de Pierre Lemaitre
Quatrième de couverture:
« Pour le commerce, la guerre présente beaucoup d’avantages, même après. »
Sur les ruines du plus grand carnage du XXe siècle, deux rescapés des tranchées, passablement abîmés, prennent leur revanche en réalisant une escroquerie aussi spectaculaire qu’amorale. Des sentiers de la gloire à la subversion de la patrie victorieuse, ils vont découvrir que la France ne plaisante pas avec ses morts…
Mon avis:
J'ai lu ce roman il y a de nombreux mois maintenant et son souvenir reste très vivace dans mon esprit.
J'ai énormément apprécié l'ambiance qui règne tout au long de la lecture. En plus de placer le récit dans un contexte très précis, de ne rien nous épargner le l'horreur de la Grande Guerre et de la réalité des gueules cassées, l'auteur nous fait entrer dans la folie de ces hommes détruits, laissés pour compte.
On a un vrai méchant à qui tout sourit et qui renforce l'injustice et l'amertume qu'on ressent en s'attachant à Edouard et Albert. On ne peut se résoudre à ce que Pradelle s'en tire si bien et j'ai tourné les pages avec des rêves de vengeance dès l'instant où il a poussé notre ami dans un trou d'obus.
Mais le lecteur n'est pas au bout de ses peines car ce splendide roman réserve bien des surprises!
Quatrième de couverture:
« Pour le commerce, la guerre présente beaucoup d’avantages, même après. »
Sur les ruines du plus grand carnage du XXe siècle, deux rescapés des tranchées, passablement abîmés, prennent leur revanche en réalisant une escroquerie aussi spectaculaire qu’amorale. Des sentiers de la gloire à la subversion de la patrie victorieuse, ils vont découvrir que la France ne plaisante pas avec ses morts…
Mon avis:
J'ai lu ce roman il y a de nombreux mois maintenant et son souvenir reste très vivace dans mon esprit.
J'ai énormément apprécié l'ambiance qui règne tout au long de la lecture. En plus de placer le récit dans un contexte très précis, de ne rien nous épargner le l'horreur de la Grande Guerre et de la réalité des gueules cassées, l'auteur nous fait entrer dans la folie de ces hommes détruits, laissés pour compte.
On a un vrai méchant à qui tout sourit et qui renforce l'injustice et l'amertume qu'on ressent en s'attachant à Edouard et Albert. On ne peut se résoudre à ce que Pradelle s'en tire si bien et j'ai tourné les pages avec des rêves de vengeance dès l'instant où il a poussé notre ami dans un trou d'obus.
Mais le lecteur n'est pas au bout de ses peines car ce splendide roman réserve bien des surprises!
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