de Stephen King
Quatrième de couverture:
Foutu singe au sourire grimaçant ! Tout en dents ! L'œil vitreux.
Un diable qui sort d'une boîte... Hal l'avait précipité au fond d'un puits. Et le voilà qui resurgit vingt ans plus tard. Le même. Avec ses ailes noires. Et, comme un écho venu de l'enfer, ces horribles cymbales qui s'entrechoquent, signant à chaque fois un arrêt de mort. Partout, l'ombre de la mort plane. Quand elle ne s'incarne pas dans le jouet le plus innocent, elle rôde dans Le chenal, attirant par son chant les vivants en sursis.
" Stella, quand viendras-tu de l'autre côté, sur le continent ? " Traverser le chenal à 95 ans ! Une invitation certes, mais au grand voyage... Chez Stephen Ring, un rien dérape et le décor qui nous était familier prend soudain un avant-goût d'apocalypse !
Mon avis:
Voici deux nouvelles intéressantes de King.
La première Le singe, a pour atout son efficacité. En effet, j'ai vraiment trouvé flippant ce singe à cymbales dont on ne peut se débarrasser. J'ai d'ailleurs réalisé que c'était une relecture (vu que j'ai déjà lu le recueil Brume!!!) et j'ai compris du coup pourquoi ce singe m'était d'office si antipathique dans Toy story 3!
J'ai moins accroché sur la seconde Le chenal qui nous emmène dans la vieillesse et les grands froids. Elle est pourtant beaucoup plus poétique. King nous décrit ici avec précision les personnages d'une communauté insulaire. Stella, sa famille, des bribes de souvenirs, le chenal qu'elle n'a jamais traversé pour rejoindre le continent. Un peu de fantastique et de poésie autour d'une fin de vie... J'ai moins adhéré!
Quatrième de couverture:
Foutu singe au sourire grimaçant ! Tout en dents ! L'œil vitreux.
Un diable qui sort d'une boîte... Hal l'avait précipité au fond d'un puits. Et le voilà qui resurgit vingt ans plus tard. Le même. Avec ses ailes noires. Et, comme un écho venu de l'enfer, ces horribles cymbales qui s'entrechoquent, signant à chaque fois un arrêt de mort. Partout, l'ombre de la mort plane. Quand elle ne s'incarne pas dans le jouet le plus innocent, elle rôde dans Le chenal, attirant par son chant les vivants en sursis.
" Stella, quand viendras-tu de l'autre côté, sur le continent ? " Traverser le chenal à 95 ans ! Une invitation certes, mais au grand voyage... Chez Stephen Ring, un rien dérape et le décor qui nous était familier prend soudain un avant-goût d'apocalypse !
Mon avis:
Voici deux nouvelles intéressantes de King.
La première Le singe, a pour atout son efficacité. En effet, j'ai vraiment trouvé flippant ce singe à cymbales dont on ne peut se débarrasser. J'ai d'ailleurs réalisé que c'était une relecture (vu que j'ai déjà lu le recueil Brume!!!) et j'ai compris du coup pourquoi ce singe m'était d'office si antipathique dans Toy story 3!
J'ai moins accroché sur la seconde Le chenal qui nous emmène dans la vieillesse et les grands froids. Elle est pourtant beaucoup plus poétique. King nous décrit ici avec précision les personnages d'une communauté insulaire. Stella, sa famille, des bribes de souvenirs, le chenal qu'elle n'a jamais traversé pour rejoindre le continent. Un peu de fantastique et de poésie autour d'une fin de vie... J'ai moins adhéré!
Je ne connaissais pas ce recueil de King, merci du partage !
RépondreSupprimerc'est un folio à 2 euros, le recueil c'est Brume, plus consistant!!!!
SupprimerJe l'ai commander, il devrait bientôt arriver !
RépondreSupprimerDeux nouvelles très différentes, qui montrent bien des facettes différentes du king, j'espère que tu vas aimer!
SupprimerJe n'ai aimé que la première nouvelle, la deuxiéme, je ne l'ai pas aimé du tout
RépondreSupprimerJ'avais moins accroché aussi. Mais je lui reconnais ce talent à soigner ses personnages en profondeur...
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