de Maxence Fermine
Quatrième de couverture:
A la fin du XIXè siècle, au Japon, le jeune Yuko s'adonne à l'art difficile du haïku. Afin de parfaire sa maîtrese, il décide de se rendre dans le sud du pays, auprès d'un maître avec lequel il se lie d'emblée, sans qu'on sache lequel des deux apporte le plus à l'autre. Dans cette relation faite de respect, de silence et de signes, l'image obsédante d'une femme disparue dans les neiges réunira les deux hommes.
Dans une langue concise et blanche, Maxence Fermine cisèle une histoire où la beauté et l'amour ont la fulgurance du haïku. On y trouve aussi le portrait d'un Japon raffiné où, entre violence et douceur, la tradition s'affronte aux forces de la vie.
Mon avis:
J'ai trouvé la lecture de court roman très agréable. La poésie est omniprésente. Dans la vie de Yuko. Dans ce roman. La neige tombe hiver après hiver, la vie coule comme une rivière, et Yuko fait ses choix d'homme; à la lecture, on entend comme des ritournelles, c'est le cycle de la vie qui s'impose.
Ohhh...celui-ci me plait bien...je le note immédiatement!
RépondreSupprimerMerci pour ce partage!
avec plaisir!!
SupprimerJ'ai adoré ce roman, le premier lu de Maxence Fermine (mon préféré à ce jour)
RépondreSupprimerJe vais passer voir ton avis, merci de ton passage par ici ;-)
SupprimerUne écriture fine, ciselée, imagée, précise. Au moment de ma lecture, j'ai trouvé que l'écriture était "trop".
RépondreSupprimerMais je n'ai rarement eu aussi conscience que cette lecture n'est pas arrivée au bon moment dans ma vie. Persuadée qu'à un autre moment, j'aurais pu apprécier.
c'est vrai que ça passe si vite, que ce qu'on ressent est forcément très lié à notre état du moment!!!
Supprimer