de Michel Peyramaure
Quatrième de couverture:
A la fin de l'été 1913, Cécile Brunie, toute jeune institutrice, arrive à Saint-Roch pour y prendre possession de son poste.
Dans ce petit village de la basse Corrèze où le curé fait seul la loi et où prospère une école catholique, elle est accueillie comme le diable en personne. Nul doute que, comme ses prédécesseurs, elle ne puisse tenir que quelques mois devant le redoutable abbé Brissaud qui, chaque dimanche, tonne contre l'école sans Dieu et ses suppôts. Mais Cécile fait front, résiste aux injures, aux provocations, aux calomnies et, peu à peu, gagne la confiance du village et vois se peupler son école. Au terme d'une année terrible, sa victoire aura le visage heureux de la petite Malvina Delpeuch, que chacun considérait comme une demeurée et qu'elle aura réussi à conduire jusqu'au certificat d'études.
Mon avis:
Je n'ai pas du tout accroché avec ce roman, j'ai mis des semaines à en venir à bout sur ma liseuse!
Rien ne m'a plu, je suis donc complètement passée à côté!
A la fin, on apprend que c'est Malvina qui écrit le texte, et des dialogues avec Cécile qui est auprès d'elle sont insérés. C'est dommage que ça arrive si tard (d'ailleurs pourquoi seulement là??) car ce procédé aurait peut être éveillé un peu mon intérêt.
Je n'ai pas accroché avec les personnages, ni avec l'histoire: une institutrice qui se prend d'affection pour une petite "innocente" du village et qui se met au défi de l'éveiller et de la conduire au certificat étude. Le tout sur fond d'avant guerre et de querelle entre le curé et l'école laïque...
C'est lent, long et je me suis ennuyée...
Quatrième de couverture:
A la fin de l'été 1913, Cécile Brunie, toute jeune institutrice, arrive à Saint-Roch pour y prendre possession de son poste.
Dans ce petit village de la basse Corrèze où le curé fait seul la loi et où prospère une école catholique, elle est accueillie comme le diable en personne. Nul doute que, comme ses prédécesseurs, elle ne puisse tenir que quelques mois devant le redoutable abbé Brissaud qui, chaque dimanche, tonne contre l'école sans Dieu et ses suppôts. Mais Cécile fait front, résiste aux injures, aux provocations, aux calomnies et, peu à peu, gagne la confiance du village et vois se peupler son école. Au terme d'une année terrible, sa victoire aura le visage heureux de la petite Malvina Delpeuch, que chacun considérait comme une demeurée et qu'elle aura réussi à conduire jusqu'au certificat d'études.
Mon avis:
Je n'ai pas du tout accroché avec ce roman, j'ai mis des semaines à en venir à bout sur ma liseuse!
Rien ne m'a plu, je suis donc complètement passée à côté!
A la fin, on apprend que c'est Malvina qui écrit le texte, et des dialogues avec Cécile qui est auprès d'elle sont insérés. C'est dommage que ça arrive si tard (d'ailleurs pourquoi seulement là??) car ce procédé aurait peut être éveillé un peu mon intérêt.
Je n'ai pas accroché avec les personnages, ni avec l'histoire: une institutrice qui se prend d'affection pour une petite "innocente" du village et qui se met au défi de l'éveiller et de la conduire au certificat étude. Le tout sur fond d'avant guerre et de querelle entre le curé et l'école laïque...
C'est lent, long et je me suis ennuyée...
Merci de nous prévenir !
RépondreSupprimer;-)
SupprimerAïe, c'est toujours dommage quand on n'apprécie pas un livre. cela ira mieux au prochain :)
RépondreSupprimeroui d'ailleurs l'orangeraie est superbe!!! pour rester dans le même thème!!
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