de Stephen King
Quatrième de couverture:
Un désert calciné, cruel et aveuglant. Immense. Un lieu réfractaire à la vie. C'est à peine si quelques masures, quelques hameaux subsistent çà et là, écrasés sous ce ciel inerte. Un enfer, implacable.
C'est là, pourtant, que marchent les deux solitaires; obstinés, portés par un destin qui les dépasse. L'homme en noir d'abord, mystérieux, qui laisse dans son sillage une légende de faiseur de miracles.
Et puis le pistolero, économe, laconique, dont lui-même ne sait plus s'il est encore humain. Le premier fuit, le second le poursuit. Il v a si longtemps qu'elle s'est engagée, cette chasse à l'homme, plus de vingt ans certainement.
Sans que ni l'un ni l'autre ne sache réellement qui détient les clés de ce jeu mortel. Et si le gibier n'était pas celui qu'on croit ?
C'est là, pourtant, que marchent les deux solitaires; obstinés, portés par un destin qui les dépasse. L'homme en noir d'abord, mystérieux, qui laisse dans son sillage une légende de faiseur de miracles.
Et puis le pistolero, économe, laconique, dont lui-même ne sait plus s'il est encore humain. Le premier fuit, le second le poursuit. Il v a si longtemps qu'elle s'est engagée, cette chasse à l'homme, plus de vingt ans certainement.
Sans que ni l'un ni l'autre ne sache réellement qui détient les clés de ce jeu mortel. Et si le gibier n'était pas celui qu'on croit ?
Mon avis:
Cette saga est le grand oeuvre de Stephen King, tous les univers qu'il a créés sont quelque part sur un des rayons. Nous croiserons d'ailleurs de nombreux visages connus au fil des huit tomes...
Je me souviens très bien de ma première lecture de chacun des tomes. Les trois premiers d'abord, puis les autres dès leur sortie, qui se faisait longtemps attendre. Mon angoisse de lectrice que l'auteur ne puisse aller au bout (comme il le dit régulièrement à chaque fin de tome). J'ai embarqué avec lui et Roland pour ne jamais les quitter. Ma dernière relecture date de la sortie de la clef des vents, il était temps de refaire un tour!
" L'homme en noir fuyait à travers le désert, et le Pistolero le poursuivait... "
Déjà la première phrase résonne...
Ce premier tome peut paraitre bien fin et pauvre en rebondissements et pourtant il contient déjà toute l'essence de la Tour Sombre. Ce monde dont Roland est le dernier homme et qu'il fait revivre au travers de souvenirs. Il les évoque à peine, pourtant quand je parcours ces lignes, c'est toute son histoire avec Suzanne qui remonte à la surface, son amitié avec Cuthbert, et puis le drame bien sûr avec sa mère...
Puis ce jeune garçon qui est là au milieu du désert. Jake. Déjà là avec nous. Il m'a presque surpris. Placé sur le chemin du pistolero par l'homme en noir. Malgré moi, j'ai alors en tête l'image d'une rose qui ne me quitte plus.
Et puis bien sûr la rencontre. Émotion quand il se fait tirer les cartes. Eddy et Suzannah bien sûr, la Tour, la mort... Notre héros prend dix ans d'un coup et est désormais réellement en quête de la Tour Sombre.
Je connais ses doutes, ses souvenirs, ses remords. Comme lui j'ai déjà vécu ça de nombreuses fois. Je suis déjà arrivée au sommet de la Tour Sombre, mais je ne me souviens plus, alors je recommence...
Merci Randall de m'accompagner dans cette relecture! Son avis sur ce premier tome ici!
Je me rappelle avoir lu les premiers tomes très jeune et je ne me souviens plus très bien mais j'avais aimé le personnage et ce mélange de fantastique et d'horreur, de Moyen Age et de western...
RépondreSupprimeroui. Et quand on est entré dans son univers, c'est pour toujours!!!
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